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Re: Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides .

MessagePublié: 09 Août 2016, 12:02
par fatrap
Ben avec mes connaisances loll j ai imprimer tout le post lollll

Re: Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides .

MessagePublié: 23 Août 2017, 09:00
par Daniel Gagnon
Bonjour à vous tous !

Vue la venu très prochaine du début de la chasse à l'orignal, je fais un petit "up" de mon sujet "Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides ....."

Je vous replace donc directement sur cette page, tout le texte qui se trouve également à la première page de ce sujet.......


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.......... Ayant lu dernièrement quelques livres de chasse des année 70-80-90 (mes préférés), j'ai décidé de décortique chacune des pages de ces livres et d'en faire un résumé sous formes de petites phrases (aide-mémoire) très rapide à lire, au lieu de chercher dans le livre !!! (Mise à jour)

Les livres en question sont :

1) Guide du chasseur d’orignal – Eugène Labelle - 1983

2) Vers le grand chelem. Chevreuil, orignal, caribou ours, lièvre et perdrix. – Emmanuel Pomerleau -1991

3) La chasse au Québec – Paul-Louis Martin – 1990

4) Orignal – Sentier Chasse-Pêche – 1984

5) Le chasseur de l’an 2000 – Pierre Guilbault – 1993

6) Mes secrets de chasse au gros gibier – Pierre Guilbault – 1986


Donc voici en question mon résumé complet et mise à jour, qu'il me fait plaisir de partager avec vous :


Guide du chasseur d’orignal – Eugène Labelle - 1983

1) L’orignal est plus actif après le coucher du soleil et ce jusqu’au lever de celui-ci.
2) Les orignaux sont plus « jaseux » en période de pleine ou nouvelle lune.
3) Le meilleur temps du call se divise en 3 tiers, le premier (meilleur) et le dernier (moyen) étant productif à l’appel et celui du centre est très tranquille.
4) Meilleur temps pour que l’orignal réponde, est lorsqu’il n’y a pas de vent. Aussi, il est bon de caller l’orignal, les matins où la brume est présente et causée par une nuit froide et même pour avoir une petite gelée au sol.
5) Il est très efficace aussi de chasser lorsqu’il y a une fine pluie ou légère bruine en début ou fin de journée.
6) Les orignaux semblent aimer les températures pluvieuses.
7) Il va de soi que les orignaux seront plus nerveux en période de grand vent.
8) Les veaux, par instinct, ne sortent pas beaucoup à découvert.
9) Il n’est pas rare de voir les femelles changer de tonalité à la fin de la journée, pour ainsi appeler leur veau afin de les faire sortir à découvert, la noirceur venue.
10) L’urine du mâle adulte (dominant) a une forte odeur de musc, qui est assez désagréable comme senteur pour nous, mais très aphrodisiaque pour les femelles en chaleurs.
11) Si une femelle est en chaleur, et bien c’est le mâle qui la suivra. Si l’accouplement est terminé et bien c’est la femelle qui sera derrière.
12) La femelle en chaleur tentera de garder son mâle et ainsi de l’empêcher d’aller sur vitre call. Celle-ci lancera des cris, mais il ne faut pas s’y attarder, mais plutôt continuer nos appels envers ce Buck.
13) Il est préférable de chasser aux premières et dernières heures de la journée.
14) Il est préférable de pratiquer le call par temps non venteux, de bruine ou de fine pluie.
15) Pour les autres températures désagréables, il est préférable de faire seulement de la chasse fine, au lieu de l’affût.
16) Prendre connaissance de la détérioration de la végétation en période de chasse, pour ainsi se diriger vers un endroit où il y a plus ou encore de la nourriture. (verdure)
17) Normalement, les orignaux adultes fréquenteront les mêmes endroits d’années en années.
18) Les jeunes orignaux, ont plus tendance à parcourir des territoires différents. Ceci leur permettra à leur tour de se trouver un endroit pour eux et ce pour la fin de leur jour normalement.
19) Pour reconnaitre les piste d’un mâle et d’une femelle adulte, on regarde le volume total du pied avant versus celui de derrière. S’il y a une différence du double de volume de l’un envers l’autre, j’en déduit que j’ai affaire à un mâle. On peut aussi regarder si le devant du pied arrière se pose sur l’arrière du pied avant, et si c’est le cas, c’est un Buck. Dans le cas d’une piste qui affiche l’avant du pied arrière par-dessus l’avant du pied avant, alors cela est une femelle.
20) Une piste de gros mâle aura 2 paquets de cigarettes de long par un paquet de large. Et un veux = 1 pour 1.
21) Les orignaux, en plus de leurs sentiers (partages), utiliseront aussi les sentiers faits par les « hommes ».
22) On peut voir des signes de broutages d’orignaux sur des arbres et branches des arbustes à hauteur de 3 à 6 pieds du sol. On constatera aussi une coupe en biseau sur le bout des branches.
23) Il est important de surveiller la présence d’écorchages, pour ainsi valider la présence d’un orignal avec panache.
24) Les montagnes sont une bonne place pour l’habitat général des orignaux.
25) Découvrir les endroits stratégiques où les orignaux sont obligés de passer, par exemple les coupes pour ainsi éviter les cassés de cran.
26) Les orignaux, lorsqu’ils ont affaires ès cours d’eaux, préfère suivre les charges et décharges par ce qu’il y a de la nourriture en abondance, ainsi que de l’eau en permanence.
27) Portez une attention particulière aux étangs de castor et aux baies avec des chicots.
28) Il est préférable de marcher les flancs de coteaux de jeunes bouleaux, de 10 à 30 pieds de hauts et avec un diamètre de 2 à 6 pouces.
29) Avoir une carte pour bien identifier les places stratégiques pour les orignaux en temps de chasse.
30) Toujours marcher le vent de face ou de côté.
31) Mettre de la senteur d’urine de mâle sur un mouchoir accroché à un ficelle de 5 à 6 pieds que l’on laisse trainer en arrière de nous, attaché à notre veste. Arrivé à un endroit stratégique, où vous croyez que l’orignal sortira, vous enlever votre corde de votre ceste et vous lancer cette ficelle à une branche très près de là. (quelques pieds en haut de la cible).
32) Vous pouvez camoufler votre odeur avec de l’odeur de moufette.
33) Ramasser l’urine de tout orignal, mais encore plus celui d’un mâle mature (4 ½ ans et +) provenant de sa vessie lors de l’éviscération. Bien sur il faut mette ce précieux liquide à l’abri du soleil et de la lumière. (bouteille de couleur foncé)
34) L’utilisation de perchoir est bien en mode affût.
35) Au début de votre chasse, coupé un bouleau d’une vingtaine de pieds, pour ainsi profiter du pouvoir d’attraction de la senteur du bouleau et de ses feuilles en séchant. Il faut que se soit un endroit où il y a plusieurs bouleaux de 10 à 20 pieds, soit un coteau de bouleau.
36) Pour chasse l’affût, il faut de préférence chasser à un endroit de passe naturelle.
37) Il est préférable de caller sur toute élévation qui se trouve près de vous. Il est préférable de caller en forêt et ainsi le moins possible sur le bord d’un lac.
38) On doit caller le plus tôt possible le matin et ce jusqu’à 10 heures. À partir de 10 heures on cesse de caller jusqu’à 15 heures, mais on fait le guet tout de même. On recommence donc à caller vers 15 heures et ce jusqu’à la noirceur.
39) Le call de la femelle est un son de « on » venant de l’estomac (comme un vent) pendant 5-6 secondes. Faites aussi un cri plaintif « Ô n Ô n Ô n Ô »
40) Le mâle adulte (4 ½ ans et +) est comme un « O » ou « OÙ » très court et provenant de votre gorge et de votre nez.
41) Le call du veau peut-être fait de temps en temps avec le son « UNA » seulement du nez pendant un temps de 3-4 secondes.
42) Une bonne technique de call est de faire la femelle 2 ou 3 fois et ensuite 3 à 4 minutes plus tard il faut faire le mâle qui répond. Quelques instant après, on fait le veau et on écoute 10 minutes. Par la suite, je varie avec femelle et veau et de nouveau j’attends 10 minutes, pour faire le mâle.
43) Il faut toujours garder la même tonalité, lorsque l’on joue le rôle d’un même orignal pendants une séquence d’appel.



Vers le grand chelem. Chevreuil, orignal, caribou ours, lièvre et perdrix. – Emmanuel Pomerleau -1991

1) Normalement l’orignal reste à couvert lors de grand vent, car il ne peut trouver l’origine des bruits.
2) Le cri du mâle est « Ouworf ! Ouworf ! »
3) A la chasse, les orignaux se tiennent plus dans les forêts de bois franc que sur le bord des lacs.
4) L’orignal est plus actif la nuit.
5) Il passe pratiquement toute sa journée (été) à ruminer, allongé dans les sous-bois.
6) Il se déplace beaucoup plus par temps calme.
7) En automne, l’orignal aime fréquenter aussi les baies de foin au bord des lacs.
8) Les femelles peuvent se reproduire à l’âge de 16 mois (sa 2ème année).
9) Les mêle sont féconds vers l’âge de 16 mois (2ème année), mais à cet âge, ils ont très rarement la chance de prendre la place d’un mâle plus mature, c’est-à-dire de 4 ½ ans.
10) L’accouplement se fait du début septembre jusqu’à la fin novembre.
11) Le mâle frotte ses bois contre les arbustes et il urine dans des trous bourbeux pour ensuite s’y rouler dedans. (en période de rut)
12) Les femelles ovulent entre la mi-septembre et la fin novembre.
13) Prospecter son territoire pour voir s’il y a présence d’excréments et de piste d’orignaux.
14) Repérer les endroits de chasse fine. Et aussi prévoir les endroits de chasse selon le temps qu’il fait et selon la période de la journée.
15) L’orignal vit dans 2.6 Km2.
16) Déterminer les endroits où l’orignal ira se nourrir.
17) Sur une carte « topo », identifier tout les indices de la présence d’orignaux. (ex : Partages ; traverses ; grattages ; frottages)
18) Le jour l’orignal est généralement sur les parties montagneuses. Il sera plus bas vers la fin de la journée.
19) Les bons endroits où voir un orignal peuvent être les étangs de castors, les baies de foins, les vieux abattis et les montagnes de bois franc.
20) Le call est meilleur par temps froid et sans vent.
21) Les sites nourriciers se trouvent le plus souvent dans les flancs de montagnes. Ils se trouvent aussi aux pourtours des marécages.
22) Observer les bouts des rameaux pour voir s’ils ont été broutés.
23) Regardez attentivement s’il y a présence de sentiers d’orignaux, par la vue de branches coupées à 2 mètres du sol.
24) Normalement le mâle laisse une trace plus large et plus ronde à l’avant que la femelle.
25) Les sites de repos se trouvent dans des endroits sec aux alentour d’une colline. On peut trouver des couchettes près d’un bosquet de sapins ou d’épinettes. L’orignal peut aussi se reposer au alentour d’une vasière et près des endroits où il y a du grand foin, non loin de conifères.
26) Lorsqu’il fait chaud, l’orignal se couche à un endroit très ombragé et du côté nord de la montagne. C’est tout à fait l’opposé lorsqu’il fait froid, il sera au sud de la montagne.
27) Les couchettes on une forme ovale d’environ 35 pouces X 75 pouces.
28) En périodes de grosse pluie, il se tient près des gros arbres, pour éviter la pluie et voir venir les ennemis.
29) Par beau temps, mais pas trop chaud, on peut trouver l’orignal sur un endroit élevé pour ainsi se faire chauffé au soleil.
30) Les grattages (souilles) peuvent atteindre 6 pieds ½ de diamètres et 12 pouces de profondeur. Ces souilles sont fait au début septembre et ce pendant environ 15 jours.
31) Les frottages (frayoirs), sont les marques laissées par l’orignal qui y a frotté ses bois. Ceci est bon en période de rut également. (pas juste pour enlever ses velours)
32) Après une nuit froide, l’orignal aura tendance à se réchauffer et manger dans une clairière ou un abattis.
33) Le meilleur temps pour la chasse est le matin, il faut donc est déjà installer avant sa venue (orignal). Le soir est également très bon.
34) L’orignal est le plus souvent vue du lever du soleil jusqu’à 10h du matin (55 %). Ensuite, de 16h jusqu’au coucher du soleil (30 %). Pour terminer, de 10h à 16h n’est pas très vue (15 %).
35) Les orignaux se cachent lorsqu’il y a tempêtes de neige et vents violent. Dans ces conditions, il se cachera dans les sapinières ou sur les versants d’une montagne, à l’abri du vent. La chasse fine est le meilleur dans ces circonstances.
36) Les premiers jours de chasse sont les meilleurs. Ensuite les orignaux deviennent de plus en plus nerveux.
37) Tout de suite après une période de mauvais temps, l’orignal est très actif et peu méfiant. Il est normalement près de sa cachette.
38) Toujours marcher face au vent.
39) Les meilleures journées sont, les journées fraiches et ensoleillées, pendant le rut, tout de suite avant ou après une tempête de pluie ou de neige, quand il bruine légèrement et lorsque la température est plus basse de 5 à 10 degrés Celsius que la normale.
40) Les meilleures heures pour caller est tôt le matin et tard le soir. Que par temps calme ou entre 2 coups de vent. Plus il fait froid, meilleur sera l’appel.
41) Le call de la femelle est pas plus long que 5 secondes.
42) L’orignal arrivera le plus possible face au vent.
43) L’urine de jument en chaleur est bonne pour attirer et camoufler notre odeur. Quelques gouttes sur une guenille près de notre affût. Et ce à tous les matins. Mettre la guenille à environ 100 pieds de notre cache et à 6 pieds de haut.
44) Le dernier quartier de lune et jusqu’à la pleine lune, constituent les meilleurs temps de chasse à l’appel.
45) Le cri du veau est « Hein-hein-hein-hâ ».
46) Après avoir eu une réponse d’un mâle, attendre 5 à 10 minutes et casser quelques branches. On peut aussi marcher dans l’eau et prendre notre calleux pour imiter une femelle qui pisse dans l’eau.
47) Si le mâle ne veux pas venir vers nous, on peut imiter un notre Buck.
48) Le grand cri de la femelle est environ de 8 secondes. Ne pas le faire trop fort et arrêtez le brusquement.
49) Le cri de la femelle (beuglement) est le son « Ou-ou-hâ » pendant 6-7 secondes. Pas trop fort non plus.
50) Une séquence d’appel peut ressembler à cela. 1) Marcher dans l’eau ou utiliser le cornet pour faire des clapotis 3 ou 4 fois. 2) Après quelques minutes, cassez quelques petites branches sèches une à une puis garder le silence. 3) 5 minutes plus tard, refaire des clapotis et imiter une femelle qui urine dans l’eau. (à l’aide de votre cornet à 3 pieds du sol). 4) Après 15 à 20 minutes, refaire 1 appel plaintif. 5) S’il n’y a pas eu de réponse, refaire 1 ou 2 appels dans la matinée.
51) Lorsque le mâle répond mais qui ne veux pas sortir, on peut casser un branche sèche d’environ 1 pouce de diamètre.
52) On peut imiter aussi un orignal qui frotte son panache sur un arbre, et ce avec un morceau de bois.
53) On peut aussi frapper avec le dessus d’une hache, un tronc d’arbre mort encore debout.
54) Commencer toujours l’appel avec les mains en premier. Par la suite, si l’orignal n’est pas près, on prend un cornet.
55) Le cri normal de la femelle et le son « on » de type nasal. Il est fait à un intervalle de 2 secondes et dure 6 secondes. Après 5 minutes, on recommence ce cri. Après encore 5 minutes, on imite à 2 reprises une femelle qui urine. Après une heure, on fait la femelle plaintive à tous les 6 minutes et ce pendant une autre heure.
56) Le cri du mâle est le son « E » provenant de l’estomac. On le fait 2 fois à 2 secondes d’intervalle et il ne dure qu’une seconde.
57) Toujours faire le cri vers le sol et changer la direction du cri chaque fois.
58) Le mâle sort à découvert après la femelle et les jeunes orignaux.
59) À l’affût, il ne faut pas faire l’appel après 9h. On restera dans notre cache jusqu’à 11h.
60) Vers 15h, on retourne à notre cache (affût), et on y casse des branches sèches (3-4). On y restera jusqu’au couché du soleil.
61) Une bonne saline est faite dans une vielle souche pour lequel on a enlevé le bois pourrie et ainsi on y mettra du sel en masse. Il faut nettoyer la souche et ses pourtours en y enlevant les racines et les arbustes.
62) La chasse à l’appel est recommandée lorsqu’il y a une gelée par terre ou lorsque les feuilles sont vraiment trop sèches.
63) La chasse à l’affût se pratique par temps sec ou humide. Il faut se rendre son poste avant le levé du soleil.
64) Les miradors devraient être installés près d’un étang de castors, des clairières, sur le bord d’un marais ou des lacs. Il faut être placé pour que le vent ne nous fasse pas remarquer. Il faut absolument avoir une bonne visibilité.
65) Sans mirador on peut chasser près des étangs de castors, sur le bord des marais, des lacs, en pleine forêt, en bordure d’un bois, à l’abord d’une clairière ou d’une rivière. Aussi on peut être près d’un sentier, près d’un site nourricier, d’une aire de repos, ou sur un escarpement.
66) Se tenir en lieu élevé pour minimiser nos odeurs vers le sol.
67) À la chasse fine, il faut se déplacer lentement et prendre son temps. On regarde bien pour voir les pistes et aussi pour bien réfléchir et imaginer les scénarios possibles. Les temps de pluies, lorsque les feuilles sont humides et que les entiers sont moelleux, caractérise bien le meilleur temps pour la chasse fine. Aussi lorsqu’il y a de la neige au sol et que le vent est assez fort, on peut suivent les piste fraiches.
68) L’orignal, est très souvent en flanc de colline ou en pente ou aussi en terrain peu élevé mais sec.
69) On peut vérifier la fraicheur d’une couchette en la touchant et en constatant si elle est encore tiède ou froide.
70) Par temps de bruine, il est préférable de faire la chasse fine près d’un massif de sapin ou d’épinettes et à flanc de montagne. Les pistes sont très faciles à voir et à « lire ».
71) Marcher face au vent ou le vent de côté.
72) Fumier frais = orignaux pas loin de là.





La chasse au Québec – Paul-Louis Martin – 1990

1) Le cri de la femelle est le son « Meugh agh »
2) Le meilleur moment pour caller est lors d’un matin froid et sec avec une petite gelée aucun ou très peu de vent.
3) La pleine lune est très favorable pour la chasse, surtout le matin et aussi la dernière demi-heure de la journée.
4) On call à intervalle d’un quart d’heure.
5) Il faut caller très près du sol et d’une manière très sourd, voir étouffé.
6) Si l’orignal ne veut pas sortir, il faut le prendre à revers et donc le contourner.
7) Pour la chasse fine, il faut regarder les traces, les signes de broutage, la hauteur des tiges mangées et les frottements du panache du mâle sur les arbres et branches.
8) On doit aussi bien regarder la fraicheur du crottin. Il y a aussi, la possibilité de sentir, dans les aires, une odeur de musc, représentatif des mâle matures et fécond.





Orignal – Sentier Chasse-Pêche – 1984

1) Un temps idéal c’est un temps froid et sans grand vent.
2) Le passage d’un temps clair vers un temps nuageux et pluvieux, est le meilleur moment pour l’activité accru de l’orignal.
3) Le mâle est très actif en septembre et octobre, pour l’accouplement.
4) La moyenne de temps d’un call de femelle est de 2 secondes.
5) Le cri de la femelle est le son « ou-ou-hâ » et est très fréquent lorsqu’elle est accompagnée par un mâle.
6) Le cri du mâle est un grognement ou croassement d’une seconde en moyenne.
7) Regarder toujours attentivement avant de faire l’appel sur le bord d’un lac.
8) Ne jamais faire la femelle plus de 5 secondes.
9) À la chasse à l’affût, attendre 10 minutes avant chaque call.
10) À la chasse à l’affût, rester au moins 5 heures à l’endroit où j’ai appelé.
11) À la chasse à l’affût, revenir à la même place l’après-midi.
12) Ce lever chaque matin avant l’aube.
13) Je tiendrai toujours compte du vent dans mes déplacements.
14) Porter que des vêtements de laine.
15) Mettre son linge de chasse dans un sac avec branche de sapin, et ce quelques temps avant la chasse.
16) Prendre 1 ou 2 jours pour la reconnaissance de son territoire. Essayer de trouver des indices de broutement dans les bouleaux, aulnes et viornes.
17) Marcher dans l’eau par éclaboussements, pour ainsi imiter un orignal qui marche dans l’eau.
18) Briser quelques petites branches sèches.
19) 5 minutes plus tard, on fait d’autres éclaboussements par la suite.
20) Prendre son cornet pour imiter un orignal qui urne dans l’eau.
21) 20 minutes après, si rien n’est entendu, on fait un petit cri de femelle avec les mains.
22) Si vous avez une réponse, cassez quelques branches.
23) Ensuite, imiter une femelle qui marche et urine dans l’eau.
24) Si le mâle répond et ne veut pas venir, et bien il faut imiter le cri du mâle à notre tour.
25) Si rien ne fait encore, il est préférable de revenir en fin de journée à cet endroit.
26) Le meilleur temps pour la chasse fine, s’est après la pluie.
27) Faire la chasse à l’affût si il y a de la gelée au sol et par le fait même si les feuilles sont trop sec.
28) Les orignaux passent du gîte de nuit (flanc de montagne) vers les endroits où ils vont boire et brouter.
29) Lorsqu’il pleut averse, qu’il y a tempête de neige ou qu’il y a de très forts vents, l’orignal se cache et s’abrite à des endroits confortables. Pour l’orignal, les places de choix en pareilles circonstances sont les bas de montagne où se trouve du sapinage ou bien sur le versant caché des intempéries. Il est donc préférable de faire la chasse fine à ce moment là.
30) Au contraire, si l’orignal est à l’aise et qu’il se déplace, il est mieux de faire la chasse à l’affût. On peut aussi faire la chasse fine, mais en marchant très lentement.
31) Donc la chasse fine est meilleur le matin et en fin de journée avec des conditions qui sont des journées fraiches, soit 5 à 10 degrés Celsius plus basse que les journées précédentes.
32) Les gros mâle en période rut se déplace en altitude élevé, et encore plus vrai si le vent est calme ou de basse vélocité.
33) Donc la meilleure température est lorsque les jours sont ensoleillés. Aussi, lorsque c’est le rut, juste avant ou après une tempête. C’est bon aussi lorsqu’il y a une bruine légère qui précède une tempête. Enfin, quand la température est plus froide de 5 à 10 degrés Celsius que la normal ou des journées précédentes.
34) C’est moins bon pour l’orignal en temps de chaleur, de pluie très forte, de vent brusque et violent et de très grand froid.
35) Marcher face au vent.
36) Masquer notre odeur avec du sapin ou de l’épinette artificielle ou naturelle. (selon notre secteur)
37) Utiliser, si possible, de l’urine de mâle mature pour camoufler vos odeur et / ou pour faire une souille pour faire fâcher un autre Buck mature.
38) Marcher en déposant la pointe du pied en premier.










Le chasseur de l’an 2000 – Pierre Guilbault – 1993

1) Mettre les salines près d’un court d’eau, non loi du mirador. Les sels et minéraux dans une bile de bois creuse et légèrement inclinée. De plus, faire un trait de scie, pour permettre à l’eau de pluie de s’écouler. Une bille de bouleau de préférence, ayant une longueur de 10 pieds et de 10 à 14 pouces de diamètre.
2) À l’affût, utilisez des branches sèches déposées par terre de façon à faire sortir l’orignal où vous le voulez.
3) Le mirador doit être installé à l’endroit le plus élevé, par rapport à a saline, à environ 12 pieds.
4) Le mirador doit être installé de façon à avoir le soleil derrière et le vent de face.
5) Ne changez pas votre saline de place en été, car il est possible que celle-ci (saine) ne soit trouvée, par l’orignal, que quelques semaines après son installation.
6) Il n’y a rien comme une corne d’orignal pour bien imiter le frottement dans les arbustes, d’un panache d’un buck.
7) L’extrémité des pines d’un sabot d’un mâle est plus arrondie que ceux de la femelle, plus pointue.
8) L’aube et le crépuscule, sont les meilleurs périodes de chasse pour l’orignal. Par temps brumeux, ils seront très actifs également.
9) Le meilleur temps pour caller, est tôt le matin et en fin de l’après-midi.
10) Inutile de pratiquer l’appel par vent trop fort ou lorsqu’il pleut à seaux.
11) En premier lieux, localisez les indices de présences d’orignaux comme, les crottins et les pistes.
12) Le cri plaintif ne doit pas être plus fort que si je discutais avec une personne et ce, sans cornet.
13) J’utilise mon cornet, que pour augmenter la porter de ma voix.
14) Si l’orignal me répond de très près, alors utilisez seulement vos mais, en guise de porte voix.
15) Le cri plaintif et de soumission, de femelle, est émis en notes graves qui s’étirent ensuite vers une note plus haute ou plus aiguë, pour enfin mourir tout doucement en notes graves.
16) Le cri plaintif = entre 3 et 4 secondes. Le cri de soumission, lorsque près d’un mâle = entre 2 et 3 secondes et très faiblement.
17) Restez sur place un bon moment après avoir fait l’appel.
18) Lorsque le « call » ne fonctionne pas, on peut se servir d’une moitié de panache pour frotter fermement les petits arbustes. De plus ont peut aussi, entrechoquer 2 palettes d’un panache d’orignal, pour ainsi provoquer le mâle et aussi donner notre signalement à d’autres femelles.
19) Vous pouvez aussi briser des petites branches sèches, de la grosseur d’un crayon à mine, pour ainsi imiter une femelle qui craque des petites branches sous ses sabots.
20) Si vous utilisez de l’urine de jument en chaleur. Il faut OBLIGATOIRMENT que celle- contienne des hormones œstrogènes. Sans cela, ça ne donne rien de plus véritablement.
21) Sur une ficelle de 4 pieds de long, attachez à un chiffon, immergez le dans l’urine et par la suite on le laisse trainer en arrière de nous, attaché à notre veste. Arrivé à votre poste de guet, vous enlever votre corde de votre veste et vous attaché cette ficelle à une branche très près de là. (1 pied d’hauteur et près de vous).
22) Si un orignal vous répond et qu’l vient vers vous, rependez aussitôt de l’urine de femelle autour de vous.
23) La chasse fine ou à l‘approche se pratique par temps plus vieux et / ou lorsque la végétation est gorgée d’eau.
24) Faites très attention au sens du vent, marchez toujours à bon vent selon votre position et celle de l’orignal, que se sot à l‘affût ou à la chasse fine.
25) Faites la chasse à l’affût lorsque le temps ou les conditions du terrain ne sont pas idéal pour la marche en forêt… comme par exemple : Lorsque les feuilles sont trop sèche, ou quand e sol est trop gelée et que craque sous notre poids.
26) Au petit matin, l’orignal se dirige vers sa zone de couchette, choisi pour cette journée.





Mes secrets de chasse au gros gibier – Pierre Guilbault – 1986

1) Profiter au maximum de la demi-heure qui précède ou qui suit le lever ou le coucher du soleil.
2) L’orignal se plaît à passer plusieurs heures dans ou près de l’eau.
3) Durant le rut, un calleur habille qui imite la femelle en chaleur, aura un net avantage sur ceux qui ne pratique pas ce genre de call.
4) Pour reconnaitre une piste fraiche dans le sable au lever du jour, on peut voir nettement les 2 pinces des sabots d’un orignal. Vers midi, surtout s’il vente, le sable sera desséché, donc déjà plus ou moins floue.
5) Les pistes dans la vase sont à faire attention. Si le sabot se détache avec précision et que le contour est très net, on peut conclure que la piste est fraiche. En revanche, si l’empreinte est légèrement effritée ou asséchée, c’est que la piste date de quelques jours.
6) Si vous rencontrer une piste fraiche, alors il y a de fortes chances que l’orignal ne soit pas très loin.
7) Ayez une carte 1 :20000 topographique, pour localiser les bons endroits où chasser.
8) Prospectez votre terrain avant la chasse et notez toutes les signes de présences d’orignaux.
9) C’est dans les régions marécageuses bornées par les montagnes de bois franc, qu’il faut s’attarder.
10) Vers la fin de l’été, les orignaux fréquentent régulièrement les plans d’eau où abondent les plantes aquatiques. C’est la que vous pouvez remarquer leurs pistes et voir qu’ils remontent dans la montagne pour y trouver refuge durant le jour.
11) Les différents signes de leur présence sont, leurs bouses, les ramilles de branches fraichement brisées, des feuilles broutées et bien sur leurs pistes !
12) Pour la cache, il faut l’installer à bon vent.
13) Vérifiez si les arbres qui sont frottés et blessés par le bois des mâle, sont humide de sève car si tel est le cas, vous vous approchez d’eux.
14) Si vous arrivez sur de la terre labouré qui sent l’urine très forte, et bien vous êtes en présence proche d’un mâle en rut.
15) Toujours faire corps avec le vent, soi l’avoir de face ou de côté.
16) Frottez longuement vos vêtements avec des branches de sapin, surtout en chasse à l’approche.
17) Pour savoir la direction du vent ou lorsqu’il y a qu’une légère brise, amassez quelques feuilles et lancez-les en l’air pour voir la direction qu’ils prennent. Faites-le de temps en temps, car le vent tourne.
18) Enfouir ses excréments ou urine sous la terre, pour qu’aucune senteur n’y soit présente pour l’orignal.
19) L’odeur humaine, comme la transpiration, imprègne un rayon de 30 à 40 mètres, après seulement une heure d’affût. Il faut donc se déplacer de temps à autres.
20) Une petite recette pour camoufler l’odeur humaine, est la suivante : 2 onces (56 ml) d’huile minérale lourde, 1 demi-rognon de castor (tondreux), 10 gouttes d’huile d’anis et 1 goutte de glande de moufette. Ceci n’attire pas l’orignal, mais par contre empêche de les faire s’éloigner de vous. La méthode consiste à mettre quelques gouttes sur le sol ou au pied de votre mirador et en remettre à tout les heures.
21) Ne pas mettre dans vos poches, 2 objets qui ne vont pas ensemble par rapport au bruit, comme un canif et des munitions. Cela va empêcher de faire des mauvais bruits que l’orignal n’aime pas.
22) Évitez les vêtements de nylon ou garnis de nylon. Ces vêtements font bien trop de bruits insolite lorsque frotter à travers les feuilles ou arbuste, lors de déplacement en chasse fine.
23) Préférez la laine comme matériel pour vos vêtements et votre dossard. Ceci protège du froid et des mauvais sons et bruits de frottement s.
24) Lors de vos déplacement en forêt marchez à pas feutrés et la pointe du pied en premier.
25) Arrêtez-vous de temps à autre pour examiner les alentour, pour bien remarquer les indices de présence d’orignal…. Bref, prenez tout votre temps.
26) Passez quelques jours à repérer votre gibier et aussi entretenir vos sentiers qui mènent à vos endroits de chasse stratégique. Cela permet de faire le moins de bruits insolites et d’intervenir plus rapidement au besoin.
27) Prenez toujours le temps de bien regarder lors de vos déplacement en forêt et encore plus lorsque le type de végétation est claire et vous permet de regarder plusieurs mètre facilement.
28) Toujours bien camoufler son mirador ou sa cache, selon la couleur dominante du secteur. Utilisez, pour ce faire, les arbres et / ou les branches environnent pour se fabriquer un « écran ».
29) En période de rut, le mâle aura tendance à se déplacer peut importe la période et l’heure de la journée.
30) Favorisez la chasse à l’affût, lorsque les déplacements ne sont pas les bienvenues, comme par exemple, après un gel vigoureux, ou dans les endroits où le sol est tapissé de feuilles mortes et sec.
31) L’affût s’impose aussi par temps calme, et lorsqu’il n’y aucun brise.
32) Pratiquez la chasse à l’approche (fine), lorsqu’il pleut ou qu’il neige. Cette température permet la marche silencieuse. S’il y a une pluie glaciale ou s’il tombe une neige abondante, l’orignal cherchera à se mettre à l’abri dans les montagnes ou les coulées bien protégées. Allez-y en marchant tranquillement le plus possible.
33) Les orignaux bougent quand-même par mauvais temps. Alors, pratiquez la chasse fine dans ces temps là !!
34) Profitez au moins de la veille de l’ouverture de la chasse pour vous installez dans votre campement ou autre installation. Ayez une source d’eau non loin de votre place de rêve !!!
35) Lors de la veille de l’ouverture de la chasse, si vous y êtes déjà, profitez-en pour aller scruter les alentours pour une brève reconnaissance des environs.
36) Le meilleur temps pour caller, c’est tôt le matin et à la fin de l’après-midi, car l’orignal est plus actif.
37) Mon 1er call est celui de l’accouplement, mais avant j’imite la femelle qui marche dans l’eau, à l’aide de mon cornet d’écorce si je suis en canot ou en marchant sur le bord de la rive d’un plan d’eau. 10 minutes plus tard, j’imite une femelle qui urine, en remplissant mon cornet d’eau et en le transvidant tranquillement dans le lac, à hauteur d’épaule. Ensuite, je lance aussitôt un 1er cri de faible intensité. Si rien ne se passe, je relance le même cri 10, 10 ou 15 minutes plus tard, mais avec plus de force…….
38) ……. Si rien ne se passe, on lance 2 ou 3 cris de soumissions, soit 2-3 petites plaintes qui s’étirent lentement vers une note plus haute, pour ensuite mourir sur un « woof » caractéristique. Si cela fonctionne, le mâle répondra tout en se dirigeant vers le calleur. Par contre les orignaux plus rusés (vieux), mettront un peu plus de temps à répondre et venir vers vous. Parfois ils viendront, mais sans répondre du tout……
39) …… Après avoir fait le cri de soumission, réponses ou non, soyez toute ouïe. Si vous avez une réponse, alors ne bougez plus et ne caller plus du tout……
40) …… Si l’orignal vient vers vous, et ensuite s’arrête, ne faites que briser quelques petites branches sèches, que vous aurez pris au préalable. Si l’orignal continue à nouveau sa marche vers vous, ne faites plus rien de nouveau…….
41) …… Bref, que l’orignal réponde ou non, il faut rester sur place, lorsque l’on décide de faire ce rituel d’appel. Il arrive assez fréquemment que l’orignal vienne s’en rien y laisser voir, aucun son et aucun bruit, alors soyez toujours prêt.
42) L’urine de jument en chaleur ne sera bonne que si elle contient réellement de la progestérone, l’hormone de la femelle justement en chaleur. (Robert Joyal, biologiste, 1983 : Sentier Chasse pêche).
43) Le sel est très efficace car il contient de l’iode, et selon les spécialistes, il procure le meilleur catalyseur d’oxydation. Ceci permet à l’orignal, d’éliminer les parasites porteurs de virus et de microbes.
44) La saline, crée chez l’orignal, une habitude et une dépendance pratiquement. Il n’y a pas meilleur leurre que le sel, pour attirer l’orignal à notre site d’affût. Par contre, il faut s’y prendre plusieurs mois à l’avance, pour ainsi créer cette habitude chez l’orignal.

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........ Veuillez notez que j'ai cité les sources de ces volumes pour respecter les droits d'auteur et que ceci ne constitue qu'un résumé de ces livres et non de plagiat envers eux...... Ceci est bien plus un sentiment d’appartenance à un patrimoine qu'est la chasse à l'orignal au Québec et ailleurs dans le monde.....

......... De plus, vous aller voir que certains ouvrages ce contredisent, mais il ne faut pas voir cela ainsi, mais avec plutôt une différence selon les approches de chasse (fine ou à l'affût) - (Arc ou carabine ou arbalète si tel est le cas) - (Différentes époques et années des dites chasses)


Alors bonne lecture et laisser des commentaires si vous voulez....


Lien de téléchargement de mon document : "Techniques de chasse à l'orignal - Plusieurs livres" ........

https://sites.google.com/a/mr-moose.com/mr-moose-la-chasse-a-l-orignal/home/condense-de-techniques-chasse-orignal/Techniques%20de%20chasse%20%C3%A0%20lorignal%20-%20Plusieurs%20livres.docx?attredirects=0&d=1

Re: Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides .

MessagePublié: 24 Août 2017, 13:13
par Tonyboy
Toute une job que tu a fait là Daniel. On va lire ca ce soir. Merci de partager

Re: Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides .

MessagePublié: 24 Août 2017, 15:13
par Daniel Gagnon
Tonyboy a écrit:Toute une job que tu a fait là Daniel. On va lire ca ce soir. Merci de partager
......


...... De rien, ça me fait vraiment plaisir !!!


Bye !!!

Re: Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides .

MessagePublié: 24 Août 2017, 15:58
par le guide
Good Job Daniel vraiment un tres bon conte rendu de chaque livres . :115896:

Re: Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides .

MessagePublié: 28 Août 2017, 11:20
par jipibou
Merci pour le partage Daniel très intéressant

Re: Trucs de chasse, sous forme de petites phrases rapides .

MessagePublié: 28 Août 2017, 20:28
par Daniel Gagnon
..... Ça me fait plaisir les gars !!!!